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Ce mercredi 15 janvier, des rassemblements unitaires ont eu lieu sur Brioude et la zone d'activité de Blavozy pour continuer d'encourager à la grève et à la manifestation contre l'injuste réforme des retraites.

Blavozy: la bataille contre la réforme des retraites se poursuit [Le Progrès]

Mercredi, les manifestants ont investi un rond-point de la zone industrielle de Blavozy/Saint-Germain-Laprade et ont appelé les salariés du privé à les rejoindre.

« Sur cette zone, il y a beaucoup d’emplois privés. L’idée est de tracter et de discuter avec les salariés du privé. Ils doivent entrer dans le mouvement car ce sont eux qui seront les victimes de cette réforme. Si on a beaucoup de représentants du privé dans les manifestations, en revanche, il n’y a pas un taux élevé de grévistes », explique Pierre Marsein, secrétaire départemental de la CGT.

Edition en ligne du 15/01/2020
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Les grévistes veulent sensibiliser le personnel du secteur privé [Zoomdici]

Différentes organisations syndicales se sont regroupées, mercredi 15 janvier à 10h30, devant l’entreprise Celnat sur la ZA de Saint-Germain-Laprade. Objectif ?  Interpeller les travailleurs du privé sur les conséquences de la réforme des retraites.

Edition en ligne du 15/01/2020
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Retraites : une cinquantaine de personnes rassemblées devant Pôle emploi à Brioude [La Montagne]

A l'appel des unions locales FO, CGT, FSU et des Gilets jaunes, un rassemblement contre la réforme des retraites s'est tenu ce mercredi 15 janvier, en milieu de matinée, devant Pôle emploi, à Brioude. Devant Pôle emploi,

"un lieu symboliquement choisi pour montrer que les chômeurs qui n'auront pas de carrière pleine seront les premières victimes de la retraite par points"

une cinquantaine de personnes se sont réunies ce mercredi 15 janvier, en milieu de matinée. Pour elles, pas question de stopper le mouvement.

Lors de sa prise de parole, Christian Caillié, représentant CGT, s'est attardé, entre autres, sur les nouvelles directives Pôle emploi, "contraignantes", selon lui. "Le but, c'est d'économiser 3,5 milliards en deux ans et cela sur le dos des plus défavorisés. Concrètement pour faire simple, c'est une perte d'indemnisation sur les pauvres".

Edition en ligne du 15/01/2020
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