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Vendredi 14 février 2020, pour la journée nationale d'action de défense de l'hopital public, les personnels se sont mobilisés pour réclamer des moyens afin de garantir l'avenir et la qualité du service public de santé.

 

Mouvement de "grève" ce vendredi en début d'après-midi à l'hôpital de Brioude (Haute-Loire) [La Montagne]

La journée test de grèves et de manifestations dans les hôpitaux publics a été marquée, ce vendredi 14 février, par un rassemblement devant le bâtiment administratif du centre hospitalier de Brioude à l'appel des syndicats CGT et FO.

"Nous sommes en grève aujourd'hui pour réclamer des moyens pour les hôpitaux, pour notre hôpital. Depuis le début des mouvements sociaux dans la santé, que ce soit dans le sanitaire ou dans le médico-social, les annonces de la ministre ne répondent pas aux attentes des personnels", a annoncé Myriam Chevalier-Bonnour, secrétaire du syndicat santé CGT.

Pour la CGT, "de bonnes conditions sont des effectifs de fonctionnement suffisant, des effectifs permettant le remplacement de toutes les absences, le respect des droits du travail et du statut de la fonction publique hospitalière..." Et d'ajouter : "de bonnes conditions de travail passent aussi par des salaires décents et non des primes qui excluent une partie d'agents qui pourtant les méritent, la prise en compte de la pénibilité des soignants..."

Edition en ligne du vendredi 14 février 2020
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Les grévistes de l’hôpital ponot ont soigné la mise en scène [L'Eveil]

endredi, en début d’après-midi, dans le cadre de la journée d’action nationale, les syndicats CGT, FO et CFDT ont organisé une action symbolique et une distribution de tracts sur le rond-point au pied du rocher d’Aiguilhe, à deux pas du centre hospitalier Émile-Roux.

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Edition en ligne du vendredi 14 février 2020
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Le "burn out" du personnel hospitalier [Zoomdici]

Vendredi 14 février, deux actions simultanées ont été organisées devant l’hôpital de Craponne-Sur-Arzon et celui d’Émile Roux au Puy-en-Velay. Mêlé de colère, de fatigue et d’une inquiétude quant à leur avenir, le personnel semble se rapprocher du point de rupture.

« Nous sommes déterminés à exprimer notre colère devant nos conditions de travail qui ne cessent de se dégrader, souligne Amandine Rabeyrin de la CGT hospitalière 43. Des motions ont été remises à la direction pour rappeler le quotidien inacceptable du personnel et les revendication que nous portons depuis de longs mois. Prochainement, un courrier sera adressé à l’ARS (Agence Régionale de Santé, NDLR) ainsi qu’à la ministre de la santé Agnès Buzyn pour rappeler nos attentes concernant les revendications d’ordre national ».

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