action sociale ars haute loire 5169240

Des salriés du secteur médico-social privé ont manifesté devant l’ARS (Agence régionale de santé) du Puy-en-Velay jeudi 21 janvier 2021. Ils réclament l’augmentation de 183 € accordée au personnel soignant dans le public, des embauches, du matériel, la reconnaissance de la pénibilité au travail, le départ à la retraite à 60 ans à taux plein...

 

Les oubliés du Ségur de la santé ont manifesté au Puy-en-Velay [L'Eveil]

Jeudi 21 janvier, la CGT santé et action sociale privée de Haute-Loire appelait à la mobilisation des salariés du secteur.

Le Ségur de la santé, adopté par le gouvernement, repose notamment sur la revalorisation des salaires de tous les personnels hospitaliers et professionnels des Ehpad (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) publics, soit 183 € nets par mois.[...]

" Nous sommes exclus, alors que nous sommes également des soignants. Nous avons l’impression que notre diplôme est au rabais alors qu’on a besoin de nous "

Edition en ligne du 23/01/2021
Source intégrale de l'article

Exclus du Ségur de la santé, les travailleurs privés du médico-social manifestent [Le Progrès]

Une vingtaine de travailleurs privés du secteur médico-social sont venus crier leur ras-le-bol sous les fenêtres de l’ARS (Agence régionale de santé) du Puy-en-Velay, jeudi, vers 15 heures.

Ils s’estiment « lésés » et sont « déçus » par leur exclusion du Ségur de la santé , auquel ils n’ont pas été conviés.
 

« Dans les Ehpad ou au sein des SSIAD (Services de soins infirmiers à domicile), les jeunes viennent pour faire des remplacements ou des petits contrats. Mais quand ils voient leur fiche de paie, ils ne restent pas."

Edition en ligne du 23/01/2021
Source intégrale de l'article

Les soignants du privé montent au créneau [Zoomdici]

Véronique Fraquier dénonce également la multiplication de ruptures conventionnelles de contrat ou d’inaptitudes. « Depuis 5 ou 6 ans, je n’ai jamais vu autant d’inaptitudes dressées et de rupture de contrat », assure-t-elle.

Ceci dénonce une logique d’économie, de suppression de postes et de lits qui est en inadéquation avec les besoins des patients et autres bénéficiaires.[...]

« Un travail en bonnes conditions, c’est un travail bien fait », lance Axelle Gerbier. 

Ce n’est pas nouveau, le manque de moyens et d’effectifs se répercute directement sur la santé des patients et des personnes en difficulté. [...]

Edition en ligne du 23/01/2021
Source intégrale de l'article