greve barbier 14102021

Tout augmente, gaz, électricité, alimentation... sauf les salaires. Des ouvriers de plusieurs ateliers du groupe Barbier à Monistrol et Sainte Sigolène se sont mis en grève pour que la direction tienne sa promesse sur une prime. Les délégués CGT ont porté leurs revendications pour une prime de 1000€ et une revalorisation immédiate de tous les salaires équivalente au SMIC (+35€ brut/mois au 1er octobre).

Après 2 jours de conflit, ils ont obtenu la prime de 1000 € pour tous les salariés du groupe au plus tard le 10 novembre et l'assurance d'augmentation à la hauteur de la situation lors des Négociations Annuelles Obligatoires qui débutent dans quelques semaines.

Il faut que les salaires soient rééllement augmentés pour tous

Pour trouver une issue au conflit, la CGT a cherché un compromis et mis la direction du groupe Barbier devant sa responsabilité. L'entreprise bénéficie de nombreuses subventions publiques sans contrepartie, il faut que les salaires soient réellement augmentés pour tous. Il en va de la vie sociale et économique du territoire.

La section Syndicale CGT Barbier Textile plastique

 

Après deux jours de grève, la "Prime Macron" sera bien versée aux salariés de Barbier [La Commère]

Des ouvriers de plusieurs ateliers du groupe Barbier se sont mis en grève à partir de mardi pour obtenir une prime, "promise par la direction", selon le syndicat CGT.

[...] "L'entreprise bénéficie de nombreuses subventions publiques sans contrepartie, il faut que les salaires soient réellement augmentés pour tous. Il en va de la vie sociale et économique du territoire", estime encore la section syndicale CGT de Barbier.

Edition en ligne du 14/10/2021
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Après deux jours de débrayage, les salariés du groupe Barbier obtiennent une prime de 1 000 euros [Le Progrès]

Mardi 12 octobre à 17 heures, des ouvriers travaillant dans plusieurs ateliers des deux sites du groupe Barbier (Monistrol-sur-Loire et Sainte-Sigolène) avaient lancé un débrayage de leur activité, afin d’obtenir la prime Macron de 1 000 euros, que l’entreprise promettait depuis plusieurs mois.

« Ce mouvement a été lancé pour mettre la direction devant sa responsabilité et accélérer sa décision quant au versement de cette prime », indique Éric Bony, de la section CGT du groupe.[...]

Edition en ligne du 14/10/2021
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