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France 3 Auvergne / Allier, 21/01/16

Bruxelles continue de faire pression sur l'Etat français pour relancer la privatisation des barrages hydrauliques. Une situation inacceptable pour les syndicats du secteur. A l'appel de la CGT, plus 200 agents se sont mobilisés jeudi devant la centrale de Bayet, dans l'Allier.

Ensemble, comme au temps où EDF/GDF était encore une entreprise unique du service public. Ils sont venus de Moulins, du Puy, de Clermont et de Vichy… et ils avaient prévu de se réunir à l'intérieur de la centrale de Bayet. Une tentative finalement avortée.

Mais ces militants CGT continuent de crier leur refus de la mise à mort du modèle énergétique français.

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Le syndicat CGT Michelin et l’Union Départementale CGT 43 dénoncent la discrimination dont sont victimes les camarades de Goodyear.

Les 7 années de luttes des salariés de Goodyear face à la multinationale ont été marquées de conflits durs avec le patronat violent qui n’a pas hésité à utiliser la manière forte dans les ateliers et l’entreprise pour faire peur et leur faire accepter la fermeture de l’usine.

Le Procureur de la République, sans doute soutenu par sa hiérarchie, voire le 1er ministre, alors que la direction avait abandonné toute procédure judiciaire, a décidé, seul, de poursuivre l’action devant les tribunaux contre 8 militants CGT.

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C’est la première campagne hivernale de la caravane des saisonniers CGT. Elle fera étape à la station de ski des Estables le vendredi 29 janvier 2016.

On constate que le patronat saisit l’opportunité des contrats saisonniers pour précariser un nombre croissant de travailleuses et travailleurs. La sociologie des salariés saisonniers change. De plus en plus de femmes avec charges de famille, des retraité-e-s qui n’arrivent pas à boucler leur fin de mois ou des chômeurs de longue durée se tournent vers ces emplois précaires.
Il faut imposer au patron et au gouvernement des droits pour ces salarié-e-s tant du point de vue des rémunérations que des conditions de travail, de l’accès à la santé, au logement etc.

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Déclaration du syndicat

Le syndicat construction de Haute-Loire compte 32 sections syndicales et plus de 300 adhérents. Notre commission exécutive se réunit tous les 1ers vendredis du mois et le bureau 15 jours avant.

Malgré les pressions patronales à ne pas être organisés avec la CGT, notre syndicat progresse toujours. Il est le syndicat référent en Haute-Loire, nous nous consacrons à un syndicalisme de proximité. Les salariés du bâtiment ne sont pas dupes, ils savent bien qui peut les défendre. Pour cela le service juridique de l’UD nous est d’un précieux soutien.

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Presse : L'Eveil, 07/01/16

Jeudi matin, la section de la CGT FIP 43 a proposé avec les autres organisations syndicales de la Direction départementale des finances publiques, FO et Solidaires, d'appeler tous les agents de la direction départementale des finances publiques de la Haute-Loire à manifester contre les nouvelles suppressions d'emplois dans le département.  

Peu avant le comité technique local (CTL) qui s'est déroulé en présence du directeur, Henri Rodier, Georges Trescartes, secrétaire départemental CGT des finances publiques, faisait part de son mécontentement : "Depuis cinq ans, c'est une cinquantaine d'emplois qui a été supprimée dans notre département. Cette année, 2 130 suppressions d'emplois sont budgétisées au niveau national dont neuf qui impactent directement la Haute-Loire.

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Zoomdici, 17/12/15

"La Direction nous provoque", estiment les 16 aides-soignantes de la Mutualité Française, en grève depuis lundi rue des Moulins, au Puy-en-Velay. La Direction assure vouloir "poursuivre le dialogue social" pour assurer rapidement une reprise d'activité.

"Ils nous proposent de travailler plus, pour de meilleurs salaires, mais avec toujours le même taux horaire", s'étrangle Céline Lioutaud, déléguée CGT, jointe ce jeudi midi, "ils ne nous prennent pas du tout au sérieux et on attend toujours l'ouverture de vraies négociations".
Selon la cégétiste, la direction souhaiteriat organiser des rencontres individuelles, "pour casser le mouvement, alors que nous avons une revendication collective", en l'occurence une augmentation de 1,50 euro du taux horaire et l'instauration d'un treizième mois.